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MAEDUSA femme fatale

femme fatale

fille facile

fière fabuliste

féroce féministe

Découvrez-moi et mon histoire, en mots et en images

Conte illustré

Genre : Poésie

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SOI(E)S - Poèmes illustrés

Une maison close sur la route de la soie.

Des voix qui s'élèvent, des femmes qui se racontent à travers vingt poèmes et vingt illustrations. 

Vingt invitations à se pencher sur soi.

Poèmes illustrés.

Genre : Poésie

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Celle qui aime

"Ce n’est qu’une histoire banale, sans drame, sans offense majeure ; celle d’un homme peu amoureux qui se laisse adorer, celle d’une femme avide d’amour qui tente l’impossible et se plante. Ce n’est qu’un gâchis ordinaire, une passion avortée. Il y a pires crimes en amour que la sempiternelle lâcheté. »
L’héroïne du 21ème siècle a depuis longtemps renoncé au prince charmant… mais pas aux amours légendaires. Quand une femme idéaliste croise la route d’un séducteur, les dés sont jetés. Approcher le cœur d’un homme n’est pas chose aisée entre confinement physique et cloisonnement sentimental… C’est grâce aux femmes de sa vie qu’elle prendra conscience de ses pouvoirs cachés : la passion, les mots et la sororité.

Roman.

Genre : Amour - Romance moderne - Féminisme

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Dans les Villes-sous-verre de l’Urbi, la société Ur-Time a du temps à revendre.

Les riches Urbiens s’offrent des injections temporelles pour avoir la vie de leurs rêves, et l’écart se creuse entre Slowmo et Fast-Forwards.

Que reste-t-il à l’humanité quand le temps et l’espace vous séparent ?

Faudra-t-il que l’aiguille vengeresse de l’Antécronos obtienne dans le sang justice pour les donneurs de temps ?

Premier roman.

Genre : Dystopie - Romance - Suspens - Réflexion métaphysique

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Chronophages - Les Donneurs de Temps

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Extrait

"Elle avait appris à faire l’économie d’un certain nombre de gestes : hausser les épaules, taper du pied, se recoiffer.

Pour ceux qui évoluaient en Temps Universel, chacune des hésitations de Nessa prenait un temps fou. Rien de tel pour se faire insulter ou pour inciter autrui à vous planter là, littéralement. Bien des gens refusaient tout bonnement de s’embêter à communiquer avec les ralentis. Il fallait aller droit au but, sans lanterner. Marcher le plus vite possible, parler le plus vite possible. [...]

 

Son premier don de temps datait du jour de ses quinze ans. Presque aucune contrainte légale ne pesait sur le prélèvement temporel. Alors que les acheteurs, eux, bénéficiaient de tout un arsenal juridique pour protéger leurs intérêts et leur santé, les vendeurs de temps étaient entièrement livrés à eux-mêmes. Ils étaient en revanche régulièrement contrôlés dans le but de vérifier qu’ils n’outrepassaient pas les limites de leur condition. De la conduite d’un véhicule à la garde d’un enfant, les donneurs perdaient beaucoup de leurs droits civiques, et c’était souvent une découverte faite trop tard, car nul ne prenait soin de les informer au préalable de ce qui les attendait après un ralentissement. Contrairement aux belles agences d’accélération temporelle, les officines de collecte du temps n’offraient aucun confort, et le grand minimum d'hygiène requis. Elles passaient pour des distributeurs d’argent facile, alors qu’on y sacrifiait quelque chose d’inestimable : la faculté d’apprécier l’écoulement de la vie à sa juste valeur.

Et pourtant, il n’y avait jamais de pénurie. Les ennuis d’argent précipitaient les pauvres hères dans les officines de prélèvement, comme l’angoisse existentielle poussait les plus riches à s’offrir du bon temps. Ceux qui avaient encore de l’espoir ne se faisaient ponctionner que de quoi les ralentir à deux ou trois centièmes; les plus malheureux revenaient encore et encore pour vendre leur seule richesse. Les officines étaient peuplées de zombies qui se déplaçaient comme dans le grand bain d’une piscine. Nessa se souvenait d'avoir frissonné d'horreur la première fois qu'elle y avait mis les pieds. Son premier don de temps. Ce jour avait marqué à la fois le début et la fin de sa vie."

Recueil de nouvelles à sept voix.

Disponible sur Amazon, Fnac, et auprès de Kyklos Editions.

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Démon du Jeu : Une adolescente négligée par sa mère se réfugie dans un jeu vidéo où tout devient possible. Mais quand le jeu devient la vie, la vie devient un jeu, et il n'y a plus qu'un pas entre raison et folie furieuse...

Recueil de nouvelles collectif.

Genre : Nouvelles - Fiction - Critique sociale

Des nouvelles du Celsa (Editions Kyklos)

Critique

"Noémie Fachan s’invite dans la tête d’une collégienne de 14 ans qui décrit son quotidien et son envie de s’offrir une autre vie. Elle nous livre ainsi un récit très touchant, raconté avec humour.  

« Démon du jeu » nous démontre magistralement qu’être adolescent est une tâche ingrate, surtout lorsque l’on ne connaît que des formes de communication indirectes. Ainsi, la mère de la protagoniste ne lui communique des messages que sur post-it, sa grand-mère devient folle, son petit-frère se renferme sur lui-même. Le cocon familial est fissuré. Déçue par son quotidien, l’adolescente s’enferme dans un monde imaginaire, une forme de vie « secondaire » : un jeu en ligne. Elle y fait l’expérience d’une seconde vie où elle a le contrôle sur tout ce qui l’entoure. Dans son jeu, la vie a un sens et surtout, elle a un intérêt. 

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La nouvelle décrit la génération Y sous un angle extrêmement riche et aborde le monde virtuel sous deux angles différents : procurateur de plaisir et de danger. Quand l’adolescente joue à son jeu, elle revit : celui-ci lui procure un réel plaisir. Toutefois, Noémie Fachan démontre avec brio qu’il n’existe qu’un pas pour confondre le monde réel et le monde virtuel, et fréquenter les mauvaises personnes. Quand l’adolescent qui est en construction perd ses repères, il les cherche où il peut. Quitte à franchir le pas qui sépare ces deux mondes pour s’offrir une autre vie."

 

Claire Hunout

(http://www.lireoumourir.com/pages/content/concours/recits-d-un-monde-en-quete-de-sens-par-claire-hunout.html)

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